dimanche 13 juillet 2008
A l'invitation de Jacques Trichet, peintre, FAFA réalise son premier accrochage de 28 fafagrafs du 1er août au 15 août 2008 à l'atelier bleu à Vouvant (France, Pays de la loire, Vendée)
Cette exposition dans le salon des invités à pour titre : panS
Pour cette occasion j'ai utilisé un pseudo improbable FAFA : la solution que j'employais pour me nommer quand j'étais petit enfant ne pouvant pas prononcer Jean-François à cause de mes faibles compétences linguales et linguistiques.
J'ai été photographe et j'aime les mots. J'ai mis en parenthèse toutes mes activités artistiques pendant 20 ans et les reprend en synthétisant les techniques que j'aime . La photographie mais via le téléphone qui permet d'oublier toute technique et les nouveaux réalistes et leur déambulation citadine, cosmopolite à la recherche des traces, des "hasards objectifs", des "objets à réaction poétique", "des centièmes de secondes chipés à l'éternité", sans oublier les canul'art.
fafagraf, emprunt au maître Man Ray et ses raygraf. « Je peins ce que je ne peux pas photographier » écrivait-il.
Créer f@f@gr@f est une autre façon de présenter ce travail.J'ai été photographe et j'aime les mots. J'ai mis en parenthèse toutes mes activités artistiques pendant 20 ans et les reprend en synthétisant les techniques que j'aime . La photographie mais via le téléphone qui permet d'oublier toute technique et les nouveaux réalistes et leur déambulation citadine, cosmopolite à la recherche des traces, des "hasards objectifs", des "objets à réaction poétique", "des centièmes de secondes chipés à l'éternité", sans oublier les canul'art.
fafagraf, emprunt au maître Man Ray et ses raygraf. « Je peins ce que je ne peux pas photographier » écrivait-il.
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